Jean-Youri
Comme le reflux de l’Océan
Emportant avec lui l’eau salée des larmes
Versée à chaque départ d’une âme,
Tout s’évanouit dans l’infiniment grand…
Comme le vent agitant la houle
Mes souvenirs troublent mon esprit :
J’ai oublié comment l’on rit.
Pourtant, le temps s’écoule…
Comme l’oiseau survolant la mer
Je contemple la vie autour de moi
Tout est si vide sans toi
Je me sens étranger à l’univers
Comme la tempête et comme l’orage :
Tout éclate, se brise et se tue.
Meurent : ce qui est, ce qui fut !
Je ne verrais plus jamais ton visage…
Depuis si longtemps
Je t’attends
Mais tu n’es plus là !
Emportant avec lui l’eau salée des larmes
Versée à chaque départ d’une âme,
Tout s’évanouit dans l’infiniment grand…
Comme le vent agitant la houle
Mes souvenirs troublent mon esprit :
J’ai oublié comment l’on rit.
Pourtant, le temps s’écoule…
Comme l’oiseau survolant la mer
Je contemple la vie autour de moi
Tout est si vide sans toi
Je me sens étranger à l’univers
Comme la tempête et comme l’orage :
Tout éclate, se brise et se tue.
Meurent : ce qui est, ce qui fut !
Je ne verrais plus jamais ton visage…
Depuis si longtemps
Je t’attends
Mais tu n’es plus là !
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